Aujourd’hui chez nos clients, la priorité n’est plus de migrer massivement vers le cloud, mais de construire une infrastructure calibrée aux besoins de l’entreprise, au meilleur coût.
Les exigences liées à l’exécution des modèles d’IA générative pourraient consommer jusqu'à 49% de la capacité totale de l’infrastructure cloud d’ici fin 2025. Cette transition est déjà en cours et, avec l’augmentation des dépenses liées à l’IA, les coûts du cloud public deviennent un véritable défi pour les entreprises.
Le tout-cloud public est donc dépassé. Pour dépenser moins en ressources et en euros, les entreprises s’orientent vers des architectures hybrides.
Pour optimiser les coûts du cloud, il faut :
analyser finement l’utilisation et les dépenses actuelles,
identifier les workloads du cloud public trop coûteux,
mettre en place une approche plus intelligente et plus fine du cloud.
Les cloud privés sont désormais conçus pour prendre en charge l’IA tout en préservant la souveraineté des données, et les fournisseurs s’adaptent rapidement.
C’est ici que les tests de performance et capacitaires entrent en jeu, pour dimensionner et valider les infrastructures cloud.
Ensuite, il s’agit d’élaborer une stratégie d’hébergement cohérente : prendre en compte la gravité des données, les exigences de performance et les contraintes réglementaires. L’objectif n’est pas de suivre la dernière tendance, mais de prendre des décisions adaptées à votre entreprise et de détailler le retour sur investissement pour les initiatives cloud hybrides et privées.
En 2025, les gagnants ne seront pas ceux qui dépensent le plus, mais ceux qui mettent en place des architectures cloud intelligentes, flexibles et performantes, alignées sur leurs objectifs commerciaux.
C’est maintenant qu’il faut agir, avant que le marché ne vous force à rattraper le temps perdu.